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Le voyage du minuscule à l'infiniment grand, au fil d'une rivière. Un filet se dessine, puis un ruisseau et tout se précise. On plonge, on dévale, on zigzague, on suit le cheminement de la rivière et des paysages qu'elle façonne.

Après une tempête, Noé trouve une petite baleine échouée sur la plage. Il décide de la ramener chez lui pour s'occuper d'elle, mais son père va lui faire comprendre que la baleine doit retourner dans sa maison à elle, la mer.

Dans sa maison douillette, Petite Poule Rousse s’active. Les culottes à trous, elle les recoud, les habits à la mode, elle les raccommode, les chemises grises, elle les reprise. Seulement ce qu’elle ne sait pas, c’est que dehors, un danger la guette, un danger tout roux lui aussi.

Canard est désemparé. Ours est parti... pêcher pour profiter de quelques jours de vacances. Il est enfin seul, heureux (quoique son canard de voisin lui manque un peu tout de même). Les rôles sont inversés ; Ours aurait peut-être bien besoin de la compagnie de Canard.

Ours est seul. Il compte bien profiter de cette belle journée de tranquillité pour se reposer. Canard est seul. Il compte bien profiter de cette belle journée...en bonne compagnie. Ours réussira-t-il à se reposer ?

Ours tombe de sommeil. Il aimerait tellement passer une bonne nuit. Canard, son voisin, est particulièrement en forme. Il aimerait tellement un peu de compagnie. Et s'il allait voir Ours ?

Dans un épisode précédent, Cornebidouille et son double Cornebidouille avaient échoué dans la poubelle, comme de vieux déchets vaincus. Décidées à se venger, elles se réunissent, forment un grain de poussière et hop ! grimpent sur la tête du petit Pierreà puis dans son gosier. Le malheureux enfant ensorcelé se met à parler très bizarrement. Il traite le docteur venu le soigner de « Prout de chamois »à Oh là là, au secours, danger ! Heureusement, petit Pierre a plus d'un tour dans son sac. Ce n'est pas encore cette fois que Cornebidouille gagnera !

Au lit, on lit. Ensuite on dort. Mais soudain...On entend un grand cri : Papa ! Encore une histoire de monstre, mais celle-ci a vraiment, vraiment, quelque chose de spécial.

Monsieur Anatole prépare le goûter pour mademoiselle Blanche. "Il n'y a rien qui marche, c'est n'importe quoi cette recette !". C'est pourtant très simple ! dit le cochon qui vient l'aider : "Comme disait ma mamie". Pour un gâteau qui épate, mets-y quelques patates !". Le lapin ajoute : "comme disait ma mémé, pour ne pas faire de la crotte, ajoute deux, trois carottes". Et chacun ajoute tour à tour dans la casserole son ingrédient fétiche. Avec un résultat pour le moins surprenant !

Voici l’histoire d’une petite poule rousse, rousse de plume, rouge de crête et tendre de cœur. Un jour, elle trouve un peu de blé et décide de le planter. Comme elle n’aime pas travailler seule ni être la seule à travailler, elle demande à ses trois amis le canard, le chat et le cochon de l’aider. Mais tous sont déjà bien occupés à lire, bronzer ou se reposer. Tout au long de la journée, la petite poule confiante ne cesse de les solliciter. La réponse des trois compères est cependant toujours la même. Pas le temps ! Et la poulette coupe, moissonne, récolte les épis et s’activeà toute seule, toute la journée. En même temps que la colère monte, elle échafaude un plan pour punir ces trois paresseuxà... Adaptation du conte traditionnel anglais avec des illustrations à partir de collage.

Il était une fois un canard qui vivait avec un fermier très paresseux. Le canard s'épuisait au travail. Le fermier grossissait dans son lit. Une telle situation ne pouvait plus durerà

Alors qu'il se promène dans la forêt, un lutin perd son bonnet. La grenouille y voit une cachette idéale et s'y glisse, mais voilà qu'arrive la souris. Puis vient le lapin, le hérisson, l'oiseau, le renard, le sanglier, le loup et même l'ours. Jusqu'au moment où arrive une puce, que personne n'a envie d'avoir comme voisin.

"J'ai compris que j'étais vieux le jour où je me suis retrouvé dans la vitrine d'un antiquaire. J'ai été fabriqué en Allemagne. Mes tout premiers souvenirs sont assez douloureux. J'étais dans un atelier et l'on me cousait les bras et les jambes pour m'assembler..."

Voici l'histoire de Jean Carotte, un petit lapin qui en avait assez que tout le monde l'appelle « Mon petit lapin ». Alors, pour bien montrer aux grands qu'il n'est plus « leur petit lapin », Jean Carotte décide un jour de devenir le pire des lapins...

Une série de propositions humoristiques invitant l'enfant à méditer sur ce qu'il préférerait : Qu’un éléphant boive l’eau de ton bain, qu’un hippopotame dorme dans ton lit ou qu’un cochon enfile tes vêtements ? Aider une sorcière à remuer sa potion ou le père Noël à faire sa distribution ? Un album qui donne à réfléchir, entre deux éclats de rire.

L'important, c'est ce qui n'est pas visible d'emblée, ce qui se cache, ce qu'on imagine : dans le gant, des guignols au bout des doigts et des câlins au creux des paumes.

Jules le souriceau vivait tout seul dans son petit terrier et il aimait ça. Il échappait ainsi à tous ceux qui voulaient le croquer, sous la terre ou en surface : hibou, taupe, blaireau, chien, lapin, fermière. Mais la vie est pleine de surprises. Un jour, parce qu’il a eu pitié d’un renard très rusé, mais surtout affamé, Jules finit par devenirà non ! pas sa proie. Beaucoup mieux que ça !

Après une séance inoubliable de cerf-volant où les P'tites Poules se sont amusées comme des folles, Carmélito, Carmen, Bélino et Coquenpâte sont perplexes. A leur retour, leur poulailler chéri a changé. Le mur d'enceinte est maintenant infranchissable... Quant à leur grand copain Pédro le cormoran, l'ami de toujours, il ne semble pas les reconnaître...

Adèle, Hortense, Paul, Camille et Hugo sont bien décidés à percer le mystère de cette basquette, abandonnée sur le trottoir. Armés de leur sens de la déduction et d'une imagination débordante, chaque enfant va nous livrer sa version des faits. ?A la fin du livre, c'est au tour du lecteur de proposer une solution pour résoudre ce mystère...

Album tendre et humoristique inspiré inspiré par la véritable histoire de Koko, un gorille capable de communiquer en langue des signes, Anthony Browne nous offre ici un album fort et délicat à la fois, empli d'humour et de tendresse ; un livre subtil qui sollicite autant notre regard que notre mémoire.